Cultiver ses tomates et autres comestibles dans la cour avant de sa maison? C’était interdit avant l’arrivée du parti Montarvillois. À peine élu en 2013, le nouveau conseil municipal doté d’une majorité d’élu-es de ce parti s’est penché sur la réglementation désuète. Le sujet était alors d’actualité; il reflétait les valeurs citoyennes de la nouvelle équipe municipale et des sympathisant-es du parti. Depuis, les légumes se sont enracinés non seulement devant bon nombre de propriétés privées, mais sur les plates-bandes placées sous les bons soins des employé-es de la Ville, pour le plus grand bonheur de nos yeux et de nos papilles gustatives. À ce titre comme à bien d’autres, le parti Montarvillois a été à l’avant-garde d’une tendance durable et planétaire, celle des villes nourricières, de l’achat local et de la biodiversité urbaine.